Les petites capitalisations moins chères font enfin leur retour, soulignant l’optimisme retrouvé de Wall Street.
L’indice S&P 600 des sociétés à petite capitalisation a regagné environ 8 % par rapport à son plus bas niveau de mai et est en passe de connaître son premier mois positif depuis janvier.
Les petites capitalisations sont les leaders du marché intérieur, car elles tirent l’essentiel de leurs revenus de la clientèle américaine. Elles sont également très exposées aux valeurs financières. Bien que ces titres se soient stabilisés après les turbulences bancaires du début de l’année, leur résistance continue est nécessaire pour une croissance soutenue du marché, car des banques saines sont l’épine dorsale d’une économie saine.
Les investisseurs français estiment que la croissance récente des sociétés à petite capitalisation contribue à soutenir un marché haussier, même si un ralentissement économique potentiel se profile à l’horizon. Cela s’explique en partie par le fait qu’elles ont contribué à prolonger un rallye étroit mené en grande partie par les actions des sociétés technologiques à forte capitalisation, qui ont atteint des sommets stupéfiants en raison de la course à l’intelligence artificielle et de la fuite vers la sécurité à Wall Street.
La reprise des petites capitalisations est un revirement par rapport à la chute qu’elles ont connue au début de l’année, à la suite de l’effondrement de la Silicon Valley Bank, de la Signature Bank et de la First Republic Bank, qui a déclenché une vente massive des actions des sociétés financières.
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